Amnesty International a annoncé lundi 25 octobre la fermeture de ses bureaux à Hong Kong, estimant «impossible» d’y travailler librement en raison de la loi draconienne sur la sécurité nationale imposée l’an dernier par Pékin.
«Cette décision, prise le cœur lourd, est due à la loi sur la sécurité nationale de Hong Kong, qui rend impossible en pratique pour les organisations de défense des droits humains à Hong Kong de travailler librement et sans crainte de sérieuses représailles de la part du gouvernement», a expliqué dans un communiqué le président de l’ONG, Anjhula Mya Singh Bais.